La perception des choses, des objets, pensées, sensations, perceptions, dans une attention libre et ouverte, sans aucune focalisation, laissant au perçu une totale liberté d'apparaître, de se déployer, de disparaître, simplement ouvert et présent à ce qui est, sans y prêter un intérêt particulier, à un moment donné, nous révèle ce qui le perçoit, arrière-plan immuable, pur contenant de toutes choses, immortelle Conscience.
3 commentaires:
Loin de moi l'idée de polémiquer mais tout ce que décrit la première partie de la phrase, autrement dit tout ce qui précède le verbe principal (« révèle »), a été expérimenté peu ou prou, à un moment ou à un autre, avec plus ou moins d'acuité, par la totalité de l'humanité. Force est de constater que cette expérience commune à tous n'a pas tenu les promesses annoncées dans la deuxième partie de la phrase : « nous révèle ce qui le perçoit », du moins pas pour tout le monde. Alors, quelle conclusion faut-il en tirer ?
C est aussi simple que cela ?
Gilles
Bonjour à vous.
Oui c'est aussi simple que cela.
Justement c'est bien le problème, ce qui est décrit dans la première partie de cette longue phrase,n'est expérimenté réellement par pratiquement personne.
Conclusion : il est normal que cette expérience inconnue de la plupart ne tienne pas les promesses annoncées....
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