Lorsque la Conscience se dévoile, face à la douce et tranquille splendeur de la Présence ,le mental, en serviteur zélé, bien qu'un moment décontenancé et ébranlé dans ses certitudes face à ce qui le dépasse, à tôt fait de reproposer ses services.
Comment maintenir cet état ?
Comment le stabiliser?
Comment le retrouver?
Que faut-il faire?
Et bien sûr, vient avec, le désir de le garder, la peur de le perdre.
La Conscience n'a que faire de ce valet servile qui se débat en elle en prétendant être aux commandes.
Pourtant, fasciné par ces gesticulations, nous cédons à ces atermoiements et tremblant de désir ou de peur, nous plongeons dans toutes sortes de pratiques, de croyances, perpétuant ainsi le moi que nous remettons sur un piédestal .
S'il vous plait, ne vous trompez pas.
Laissez le mental à sa place, celle d'un serviteur; utile certes, mais ne le laissez pas devenir le maître.
Ainsi démasqué, il cessera d'être un problème .
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